La dérive de la Haute Autorité de Santé se confirme avec la nomination une fois encore d’un médecin des hôpitaux publics à sa tête. Aucun médecin libéral n’est membre du collège de la Haute Autorité de Santé.
Comment peut-on en arriver là ?
Les discriminations, bannies à raison dans tous les secteurs, devraient donc persister dans le secteur de la santé ? Pas de parité entre public et privé ! Aucun médecin libéral alors qu’on regrette que les médecins libéraux n’assument pas un maillage suffisant du territoire, que leur adaptation aux besoins d’efficience ne soit pas assez rapide. La Haute Autorité de Santé pourra le rappeler à satiété…
Aucun médecin libéral pour équilibrer le discours et rappeler qu’une convergence des moyens à qualité égale entre public et privé ne serait que juste. Rappelons que la HAS est l’organisme en charge de la vérification de la qualité et de l’efficience. Alors que beaucoup du déficit de la santé vient du surcoût de structuration administrative publique, l’administration hospitalière publique qui en profite continue par la navette de ses fonctionnaires entre l’administration centrale ou régionale et les directions des établissement hospitaliers publics à subjuguer les politiques.
En faisant nommer à tous les postes médicaux uniquement des Praticiens Hospitaliers qui dépendent économiquement d’elle, l’administration sanitaire du secteur public garde la main et s’assure que rien ne changera pour elle et pour le déficit de la santé.
Contacts presse : Emeline Barbé – 06 87 76 17 23 – emeline@eb-conseil.net
Dr Bertrand de Rochambeau, Président du SYNGOF, co-Président du BLOC – 06 48 20 16 77
Les médecins libéraux doivent demander une Haute Autorité de Santé libérale
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