La volonté politique est de faire disparaître l’accès direct au médecin spécialiste de la femme, en ne formant plus du tout de gynécologues médicaux puis pas suffisamment, et de les remplacer par des sages-femmes et des généralistes que l’on ne forme ni les uns ni les autres à la pathologie féminine, et il faut croire que la qualité des soins sera la même. Car le suivi gynécologique des femmes ne se limite pas à une contraception ou un frottis. Faire croire que leur prise en charge sera la même si la gynécologie médicale continue de disparaître est une mystification, une imposture, que dis-je une tromperie: forme la plus élaborée de la maltraitance envers les femmes. Où est l’égalité homme -femme quand on fait disparaître les médecins spécialistes des femmes ?

https://www.lequotidiendumedecin.fr/actualites/article/2018/01/03/face-la-penurie-de-gynecologues-medicaux-generalistes-et-sages-femmes-soulignent-leur-propre-role-central_853792?xtor=EPR-1-%5BNL_derniere_heure%5D-20180103&utm_campaign=NL_derniereheure&utm_source=qdm&utm_content=20180103&utm_medium=newsletter

Pénurie des gynécologues médicaux : interview de Bertrand de Rochambeau dans le Quotidien des médecins

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